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Brancard inutilisable

Ce brancard est hors d'usage. La bactérie ISak a progressivement rongé toutes les parties en plastique, des roues aux poignées, le rendant complètement inutilisable. Comme beaucoup d'autres équipements, il est désormais stocké dans le couloir en attendant d'être remplacé ou détruit. L'hôpital manque de solutions de rechange, laissant de nombreux brancards abandonnés, inutilisables, dans des zones de stockage improvisées.

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Extérieur

Depuis la propagation de la bactérie ISak, les zones de quarantaine sont strictement surveillées pour éviter la contamination. Les frontières internes sont surveillées ; sortir d'une zone contaminée nécessite une autorisation spéciale et des procédures de décontamination complexes. Les patients ayant besoin d’une prise en charge médicale plus poussée dans une zone non contaminée doivent faire une demande de transfert et seuls ceux dont l’état est le plus critique peuvent en bénéficier. Le paysage extérieur semble calme, mais les déplacements sont strictement contrôlés.

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Juliette

Comme de nombreuses familles vivant dans les zones contaminées par ISak, Juliette est confrontée à la dégradation des conditions de vie liée à la disparition du plastique. Séparées de leurs proches vivant hors des zones touchées, certaines familles envisagent de contourner les restrictions pour accéder à des soins ou se réunir. La crise provoque des tensions croissantes, poussant de plus en plus de personnes à envisager des actions illégales pour protéger leurs proches.

Clément

Clément est particulièrement vulnérable dans cette crise. Le manque de matériel médical, rongé par ISak, complique les diagnostics : sans scanners ou IRM, les médecins peinent à identifier clairement son état, ce qui ralentit les soins. Face à cette incertitude, les soignants sont contraints de prioriser les patients, créant des dilemmes éthiques.

Infirmier

L'infirmier incarne l'épuisement du personnel médical, obligé de réapprendre à soigner sans les équipements modernes détruits par Isak. Obligé d'administrer des soins rudimentaires, il improvise, augmentant les risques d'erreurs. Les lenteurs administratives, comme les décisions de transfert vers les zones non contaminées, freinent ses actions, tandis que la pression des familles, désespérées, pèse sur lui. Avec moins de technologies, l'aspect humain de son travail, comme l'écoute et le soutien psychologique, devient essentiel.

Poche de perfusion

Les poches de perfusion sont devenues rares, car la majorité de ces dispositifs contiennent des éléments plastiques. Les tubes et valves sont également touchés, rendant l’administration de médicaments et de fluides difficile. Le plastique des quelques poches restantes, devenu poreux à cause d'ISak, ne peut plus garantir la stérilité nécessaire, augmentant ainsi les risques d'infections lors des perfusions. Les alternatives temporaires utilisées sont moins efficaces.

Matériel électronique

Ces appareils, autrefois essentiels pour surveiller les signes vitaux, sont maintenant hors d’usage. La bactérie ISak a dégradé les câbles, boutons et composants en plastique, les rendant inutilisables. Privé de technologies modernes, l’hôpital doit se tourner vers des méthodes plus rudimentaires et des équipements réduits.

Chambre d'hôpital

Hôpital Louis-Pasteur, 2034

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